Cuzco, là où plane toujours l’esprit des Incas (Pérou)

Publié le 10 juin 2022 (Mis à jour le 12 avr. 2025)
Lecture : 2 minutes

Rédaction Médialo

Partagez sur Facebook Partagez sur Twitter Partagez sur LinkedIn

À Cuzco, les constructions sont d’inspiration coloniale, mais les fondations sont résolument indiennes et donnent à cette ville une ambiance unique qui marque davantage le visiteur que n’importe quelle autre ville en Amérique du Sud.
Cuzco demeure un grand créneau culturel, une sorte de capitale des Andes où plane toujours l’esprit des Incas. Les murs de la citadelle de Sacsahuaman, à proximité de Cuzco, où se déroule l’Inti Raymi, la Fête du soleil, le 24 juin, témoignent de la grandeur de la capitale inca. Cuzco n’est peut-être plus le nombril du monde comme au temps des Incas, mais il s’y dégage toujours une ambiance particulière. On revient volontiers à Cuzco, ne serait-ce que pour flâner dans ses rues, se laisser bercer par l’antara, la flûte de pan, et réentendre « El Condor Pasa » sur la Plaza de Armas… et retourner quelque 500 ans en arrière.

Cuzco fait en quelque sorte la synthèse de la culture indienne et de celle des conquistadors. La cathédrale est assise sur les fondations de l’ancien palais de Viracocha, le centre de l’Empire inca. L’église Santo Domingo est bâtie sur les murs du temple du Soleil et les ruelles pavées de galets datent de la période préhispanique. Cuzco est également la porte d’accès pour visiter la vallée des Incas et les vestiges de cet empire précolombien. De la gare San Pedro à Cuzco, il faut cinq heures pour se rendre à Machu Picchu… et lorsque l’on prend le train local, le voyage est une initiation à la vie quotidienne des descendants des Incas qui se déroule sous les yeux au fur et à mesure que le train s’enfonce dans la vallée et que les wagons se remplissent de paysans chargés comme des ânes.

Gérard Coderre, résident de Saint-Adolphe-d’Howard, a visité plus de 150 pays avec son sac à dos. Passionné de voyages, de traditions et de découvertes, il adore parler de ses aventures. Chaque mois, il partagera des souvenirs avec les lecteurs de L’info.

Sur la photo: Rose-Marie Schneeberger, entourée du président du CER, Frédéric Broué, de la directrice Marlène Perrier et Mme Chantale Jeannotte. (Photo - Bureau de la députée Chantale Jeannotte)

Actualités

Environnement

Une médaille pour Rose-Marie Schneeberger

Rose-Marie Schneeberger, du Complexe environnemental de la Rouge (CER), prend sa retraite et reçoit la médaille de la députée de l’Assemblée nationale.