« Mettre en lumière les zones d’ombre qui persistent »

  • Publié le 23 mars 2023 (Mis à jour le 12 avr. 2025)
  • Lecture < 1 minute
Rédaction Médialo


Marie-Hélène Gaudreau, députée bloquiste de Laurentides–Labelle et vice-présidente du Comité de la procédure et des affaires de la Chambre (PROC), annonçait le 21 mars, la fin de l’obstruction parlementaire pour faire entendre la cheffe de cabinet de Justin Trudeau, au sujet des allégations d’ingérence étrangère chinoise dans les élections fédérales.

Dans son dernier rapport, le comité PROC a demandé au gouvernement du Canada de lancer une enquête publique nationale sur les allégations d’ingérence étrangère dans le système démocratique canadien.

« Les libéraux n’ont cessé de mettre des bâtons dans les roues du Comité PROC, en ne se présentant pas aux réunions du Comité ou en faisant de l’obstruction parlementaire. La pression a été tellement forte que Justin Trudeau n’a pas eu le choix que de laisser sa cheffe de cabinet témoigner. Il est inconcevable que le premier ministre désavoue son propre service de renseignement et qu’il persiste à refuser une enquête indépendante et publique sur les allégations d’ingérence », a témoigné Marie-Hélène Gaudreau.

Articles les plus consultés

Photo gracieuseté - Alain Otto
Actualités
Faits divers

Rivière-Rouge : crue des eaux sous surveillance étroite

Bien qu’aucun état d’urgence n’ait été décrété, certains secteurs résidentiels et ruraux ont connu des débordements localisés.
Photo - Municipalité de La Macaza
Actualités
Communauté

Un tournage entraînera des entraves à La Macaza

La Macaza invite les usagers de la route à faire preuve de prudence et de patience alors qu’une équipe sera sur place pour un tournage le 9 juillet.
Photo Médialo – Gabrielle Sarthou
Actualités

Logement dans les Laurentides : une crise urgente

À l’approche du 1er juillet, traditionnellement associé à la période des déménagements, la situation du logement locatif dans les Laurentides inquiète les organismes de défense des droits des locataires. Selon Véronique Laflamme, porte-parole du FRAPRU (regroupement national pour le droit au logement), « la situation dans les Laurentides, est inquiétante et préoccupante ».