Le bilan de la chasse de certains des plus populaires gibiers sur le territoire québécois pour 2022 a été dévoilé. Voici, en résumé, les statistiques des territoires des Laurentides et l’Outaouais, soit les zones 9, 10 et 11 pour le cerf de Virginie, de loin la plus populaire des bêtes chassées.
Unis pour la Faune (UPF) est un organisme à but non lucratif qui regroupe « les intervenants et l’industrie dans un objectif commun de promouvoir et défendre une saine gestion des activités fauniques et ainsi assurer l’avenir des activités de plein air, de chasse et de pêche au Québec par le biais de la recherche, l’éducation et les travaux de terrain ». L’info discute avec l’un de ses représentants dans la MRC d’Antoine-Labelle (MRCAL), Louis Roussel, aussi vice-président de l’organisme.
Trois MRC de l’Outaouais et un organisme s’unissent afin de limiter la chasse des cheptels de cerfs sur leur territoire et demandent un décret au gouvernement provincial pour appliquer la restriction de la taille légale des bois (RTLB) à l’échelle de la province.
La MRC d’Antoine-Labelle a rendu publics les résultats de l’étude d’impact économique de la chasse, du piégeage et de la pêche menée par le Bureau d’études stratégiques et techniques en économique (B.E.S.T.E). En résumé, ces activités se révèlent importantes par leur impact économique.
Récemment, la MRC d’Antoine-Labelle (MRCAL) consultait ses membres du comité administratif (CA) sur cinq priorités régionales et cinq enjeux provinciaux présélectionnés. Voici la raison derrière cet exercice et les résultats obtenus de 14 répondants sur 17 possibles. Mais dans quel but exactement?
Suite au conseil des maires du 25 janvier dernier, un comité de développement économique pour la qualité de la chasse et de la pêche a été créé dans les Hautes-Laurentides. Ce comité, soutenu par l’organisme Unis pour la faune, se donne pour mission revigorer les lacs et favoriser la reproduction du gibier.
Le ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs (MFFP) a récemment publié les statistiques de chasse de 2021. Les chasseurs ont connu du succès à l’ours, l'orignal, le dindon et le cerf de Virginie, si l’on en croit les données.
Depuis toujours, le loup fascine et effraie. Longtemps, il a été vu comme un ennemi par les humains, mais son rôle pour maintenir la biodiversité est de plus en plus connu et entraîne une mobilisation du milieu pour préserver l’espèce.
Afin de garder les meutes « locales » en santé et éviter une surmortalité du loup dans la région, le Parc national du Mont-Tremblant a lancé différentes initiatives.
Maintenant que la chasse touche à sa fin, les clubs de motoneige du Québec, dont Auto-Neige L’Ascension et Les Maraudeurs, retournent sur leurs sentiers afin de sécuriser les passages.
Bertrand St-Jean, le président de l’Association de chasse et pêche de Nominingue (ACPN), ne cache pas qu’il manque cruellement de chasseurs dans l’organisme. Où est la relève donc? L’ACPN travaille fort pour corriger le tir.
Le Riverougeois Gérard Therrien a 89 ans. C’est un homme qui coupe encore son bois à la hache comme à la scie mécanique. Plus important encore, si l’on peut dire, il va à la chasse régulièrement depuis des décennies. Justement, qu’est-ce qui a changé fondamentalement dans ce loisir qui reste, sans l’ombre d’un doute, le plus vieux de l’humanité?
La fin de semaine de la relève à la chasse a remporté un grand succès l’an dernier. Bien que l’Outaouais et les Laurentides aient reçu des participants dans chacune de leurs zones, il ne serait pas étonnant que l’événement en attire davantage cette année, puisqu’il en est à sa deuxième édition.
Membre du groupe Médialo, L’info du Nord Vallée de la Rouge est un journal local couvrant l’actualité de plusieurs municipalités de la MRC d’Antoine-Labelle notamment Rivière-Rouge, Lac Saguay, La Macaza et Nominingue.
