La RIDR a besoin d’une deuxième torchère pour éliminer ses gaz
Le directeur général et secrétaire-trésorier de la RIDR, Marc Forget, indique que les gaz nauséabonds que les gens respirent sur la 117, tout comme les voisins d’ailleurs, seraient fortement diminués avec l’installation de deuxième torchère. Une torchère ? Les torchères brûlent les gaz non captés qui s’échappent dans l’atmosphère.
« On répertorie aussi les odeurs. Tous les jours, on va sur des lieux précis sur le site où l’on évalue sur une échelle de 1 à 10 le niveau d’odeur pour essayer de comprendre exactement comment ça se passe » explique Marc Forget.
Chose certaine, une torchère, ce n’est pas assez. « On a tellement de matière, on est rendu avec un gisement important, et les puits que l’on ajoute année après année font que la torchère actuelle a atteint sa capacité maximale. »
Dangereux ces gaz ?
À un certain niveau, est-ce que ces gaz s’avèrent dangereux pour la population ? Marc Forget est formel sur ce point.
« Non. Il y a eu des tests effectués par des organismes sur les sites et il n’y a pas de danger » assure le directeur. Mais ça pourrait effectivement l’être en d’autres cas, non applicable à la RIDR. « C’est certain que si tu es dans un espace clos où il y a une infiltration de gaz dans le sol et que ça passe à travers une fondation de la bâtisse, là il pourrait y avoir un danger. Mais ça ne voyage pas si loin que ça. »
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