Accusé de manquer de transparence
Pas d’« omerta » au CISSS, clame la PDG
La présidente-directrice générale du Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) des Laurentides, Rosemonde Landry, assure qu’aucun des employés sous sa gouverne ne sera rabroué s’il parle aux médias.
Contrairement à ce qu’avancent certains syndicats représentant des travailleurs de la santé dans les Laurentides, qui ont reçu des échos de leurs membres en ce sens, il n’y aurait pas de « politique interdisant de parler à des journalistes au CISSS », selon la PDG.
« Il n’y a pas d’omerta dans nos établissements ou dans aucun de nos services, a-t-elle déclaré à L’info du Nord. Ce que nous avons, c’est une politique des médias sociaux. On demande à nos employés de faire attention sur les réseaux sociaux à ne pas prendre position au nom de l’établissement où il travaille ou du CISSS, sans l’autorisation de l’employeur au préalable. »
Elle ajoute que les employés du CISSS, tous secteurs confondus, ont cependant le devoir de protéger la confidentialité des patients et des gens qu’ils côtoient dans le cadre de leurs fonctions. Mais à savoir si un employé quelconque avait le droit de s’exprimer dans les médias sur la réalité qu’il vit sur le terrain dans le contexte de la pandémie, s’il ne divulgue aucune information confidentielle, la réponse de Mme Landry est sans équivoque: « Oui, dans un cas comme celui-là, rien ne lui en empêche. »
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