Marc Forget rend hommage à Gilbert Brassard
Parce qu’il ne sera plus maire de Labelle en novembre, Gilbert Brassard, président de la Régie intermunicipale de la vallée de la Rouge (RIDR) après huit ans de loyaux services, a été célébré lors de la dernière rencontre du conseil administratif. L’actuel directeur général Marc Forget est l’une de ces personnes.
Parce qu’il ne sera plus maire de Labelle en novembre, Gilbert Brassard, président de la Régie intermunicipale de la vallée de la Rouge (RIDR) après huit ans de loyaux services, a été célébré lors de la dernière rencontre du conseil administratif. L’actuel directeur général Marc Forget est l’une de ces personnes.
« Monsieur Brassard va m’avoir marqué pour le restant de ma vie », avoue M. Forget. Soulignant d’emblée que le maire, au cours des années, a mis la régie « à sa main », a su réunir les 35 municipalités membres de l’organisation.
« Il était apprécié, c’est évident. Il a été reconduit à son poste de président de la régie pendant toutes ses années. Jamais personne n’a dit qu’il désirait un vote. Sur le conseil d’administration, on a confiance en lui. »
De son passage à la RIDR, Marc Forget (arrivé en 2011) retient quelques points de son président, dont l’honnêteté et le dévouement.
En tout cas, il laisse de grands souliers à chausser.
Marc Forget, directeur général de la RIDR
« J’ai été présent sur des comités où siège M. Brassard dans la MRC des Laurentides, parce qu’il est président du comité du PGMR et, sans tirer sur la couverture, il a toujours fait en sorte que les activités aient lieu à la RIDR. Il voulait que les gens prennent conscience que la régie est en région et que les emplois sont importants. M. Brassard les a toujours protégés. »
Pas de rêves en couleur
Outre l’honnêteté et le dévouement s’ajoute l’intégrité, ce qui fait dire au directeur général que le président Brassard ne compliquait jamais les choses ni ne met personne dans l’embarras, cela est dû au respect des gens.
C’était aussi un réaliste.
« Pour lui, améliorer la diminution de l’enfouissement était aussi très important. Rêver en couleur?? Il n’était pas là: il faut que ce soit réalisable. C’était aussi pour nous le personnel, car il évaluait notre travail de façon réaliste. Il est toujours resté dans le concret. »
Pendant de longues minutes, Marc Forget étale les grands gestes de Gilbert Brassard et, sans qu’il le dise ouvertement, l’on sent qu’il a soudé une amitié avec le maire. D’ailleurs ce dernier étant à la chasse à la rédaction du texte, il est impossible de lui soutirer quelques mots.
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