Le registre des armes à feu pourrait soulever les passions à La Macaza
Quelques brèves de la dernière assemblée du conseil municipal de la Municipalité de La Macaza tenue le 14 mars dernier.
Registre des armes à feu
Le dossier du registre des armes à feu fait couler beaucoup d’encre dans le pays et le questionnement sur sa pertinence trouve place dans les salles de conseil municipal, dont La Macaza. Le citoyen Guy Alexandrovitch a interpellé le conseil, la mairesse Céline Beauregard, afin de connaître sa position sur le brûlant sujet. Cette dernière ne s’est pas prononcée affirmant que la réponse sera soumise à la population à la suite de la rencontre annuelle des maires de la MRC avec le député Sylvain Pagé le 30 mars prochain. Le sujet n’est pas à l’ordre du jour de cette rencontre, mais comme l’a spécifié M. Pagé dans une communication avec L’Information du Nord, le sujet pourrait se trouver dans le point « varia ». Selon M. Alexandrovitch, le registre coûterait plus ou moins 60 M$ à mettre en application. C’est un sujet qui semble soulevé des passions chez les Macaziens.
Nouvelle procédure
Le directeur général intérimaire Jacques Brisebois a été présenté officiellement par la mairesse avant que le premier prenne la parole pour étaler son parcours pour le moins consistant dans les affaires municipales. À la suite d’un des premiers points adoptés à l’ordre du jour, M. Brisebois a décidé de briser la rime en affirmant que dorénavant une procédure de modernité dans l’adoption et l’appui des points sera en vigueur. Dorénavant, un seul proposeur. Si personne ne s’y oppose, le point est adopté à l’unanimité. L’assemblée s’est déroulée de cette façon et semble avoir été bien accueillie par l’assistance qui n’a pas soufflé un seul mot.
Horaire modifié
Puisque l’automne s’étire chaque année, le conseil a pris la résolution de prolonger la plage de travail de deux employés saisonniers : l’horticultrice Isabelle Hébert et l’inspecteur en urbanisme et environnement Yves Séguin. Ce type d’annonce n’était habituellement pas annoncé comme tel au conseil avec une résolution. Pour M. Brisebois, c’est autre chose : « Je considère que ce sont des employés qui ne travaillent pas nécessairement à l’année, des saisonniers, je préfère que la Municipalité, par résolution, annonce le rappel de ces gens, à quel moment ces gens vont travailler. Pour moi, c’est agir dans la transparence. » La convention collective prévoit un rappel au travail desdits employés pour une période de 28 semaines. La plage de travail de Mme Hébert s’étend du 21 mars au 28 septembre et celle de M. Séguin, du 3 avril au 9 octobre.
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