Le Club des petits déjeuners fait fureur à La Minerve
L’école La Relève de La Minerve s’est récemment jointe au Club des petits déjeuners afin d’assurer ce service aux 78 élèves inscrits sur 83. Un tour de table avec la bénévole en chef et administrative Nicole Simard-Laurin, l’une des deux responsables avec Élodie Lampron.
Qui dit service de déjeuners voit les frais inhérents. Qu’en est-il à l’école de La Minerve? « Normalement, c’est 40$ par année, par enfant, ou 75$ pour une famille. Nous avons décidé de ne pas charger parce que la Fondation de l’école aimait mieux faire des collectes de fonds pour compenser. Ça encourage les parents à inscrire leur enfant. C’est nouveau cette année, on verra l’an prochain », explique Nicole Simard-Laurin.
La Minerve, malgré une vitalité certaine, est une municipalité dite dévitalisée. « Pour avoir le service du Club, il y avait des conditions et ici, nous les avons. En fait, on est côté 10 sur 10, 1 étant super », précise-t-elle.
Bénévoles recherchés
Des bénévoles pour la réussite des déjeuners ne sont pas à négliger. Des parents comme des grands-parents et même des conseillers municipaux. Mme Simard-Laurin précise que la Municipalité a aussi collaboré avec une aide financière à la hauteur de 1500$. « La municipalité de la Minerve a accepté un programme de bénévolat pour permettre à certains de leurs groupes d’employés de participer au Club des petits déjeuners. En gros, la municipalité accepte de payer une heure des deux heures de bénévolat par période de deux semaines pour les employés intéressés. Pour l’instant, deux personnes ont accepté de participer et d’autres ont manifesté leur intérêt en plus d’un conseiller municipal. »
« On a trouvé des façons d’accélérer le service en demandant aux enseignants de 5<@Re>e<@$p> et 6<@Re>e<@$p> année de nous envoyer des élèves pour aider les plus petits. Nous avons donc des équipes différentes chaque mois », poursuit la bénévole.
Le directeur de l’école Jean-Simon Levert est évidemment satisfait du succès présent et des bénéfices, bien qu’il aimerait voir ce programme s’étendre au secondaire. « Naturellement, les élèves du primaire sont “en amour” avec les enseignants. Si l’on avait ce programme au secondaire, les enseignants aussi présents pour déjeuner, ça créerait un beau quelque chose comme lien. Les jeunes élèves croient que les enseignants ont une vie seulement de 8h à 4h. Alors quand ils nous voient à l’extérieur, c’est toujours l’étonnement », dit-il.
Voir plus de : Communauté
Solidaires pour contrer la faim
Le jeudi 5 décembre prochain se tiendra la nouvelle édition de la guignolée des médias, au profit des organismes Moisson …
Le personnel du CCML inquiet
Dans une lettre parvenue à L’info et signée par la totalité des membres du personnel, le Centre collégial de Mont-Laurier …
Le rêve de Cinthia Randlett
À la fin août 2024, Cinthia Randlett a réalisé son rêve d’ouvrir un service de garde en milieu familial entièrement …