500 personnes chantent en diapason avec Gregory Charles
Le secteur Sainte-Véronique de Rivière-Rouge a su accueillir le 14 juillet l’un des artistes les plus populaires de la colonie artistique dans le cadre du Festival International Hautes-Laurentides, le touche-à-tout Gregory Charles.
Le spectacle annoncé pour 16h30, afin d’éviter l’escadron de moustiques à la brunante, a poussé 500 mélomanes et leur chaise vers la plage Michel-Jr.-Lévesque. Mais il fallait chercher son espace de stationnement: seulement sur le boulevard Fernand-Lafontaine, entre la rue Grammond et l’édifice de Poste Canada, aucun espace.
Sur le terrain, sur la nouvelle scène mobile Desjardins récemment achetée par quatre municipalités de la Rouge, se trouve un piano Baldwin. Pas de décor.
Après les présentations d’usage par la directrice générale du Festival, Martine Cardinal, le maire de Rivière-Rouge, Denis Charette, et le directeur artistique et maestro-violoniste Alexandre Da Costa, Gregory Charles prend vite contrôle de son espace vital.
Ce qu’il présente au public, c’est ce qu’il fait de mieux: un pot-pourri des plus grands succès, souvent des classiques ou des standards de divers genres musicaux, que ce soit du jazz, de la pop musique, de la musique de film ou encore des chansons folkloriques, du bon québécois ou du country. Tout le monde a été choyé d’entendre Édith Piaf, les Beatles, Hank Williams Sr., Félix Leclerc, Billy Joël et plus encore.
Gregory Charles l’a dit longuement dès qu’il a pris place au piano, il nage dans la musique depuis son enfance. Le fait qu’il lance le défi aux gens de lui nommer une année importante pour eux entraine l’interprétation d’un grand succès anglophone ou francophone. « 1973? C’est la plus belle année de chansons »… « 1947? C’est la plus belle année de chansons », et ainsi de suite. Il a un sens de l’humour ce Gregory Charles, habitué de la scène, de la radio et de la télé.
Soulignons la présence sur scène d’Alexandre Da Costa qui fut de symbiose avec la vedette. Da Costa est un artiste de plus en plus populaire, notamment dans les Laurentides où il est un enfant chéri de la musique, mais aussi parce que son talent est remarquable et sait se mêler avec succès à plusieurs genres musicaux.
Si l’an dernier la direction du Festival International Hautes-Laurentides a fait le pari du succès en avançant des artistes de musiques populaires à sa programmation, la preuve était solide le 14 juillet.
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